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    (Ils sont racistes ces parisiens )

     

    A Paris, un Espagnol entre dans un bar-tabac.
    Il achète un ticket à gratter.
    Au moment précis où il découvre qu'il a gagné 10 euros, un flash-info annonce un
    accident de car en Espagne ayant fait 10 morts !


     Puis arrive un Italien, qui  achète également un ticket et le gratte.
    Il gagne 100 euros et dans la seconde qui suit, un flash-info annonce un
    accident de train en Italie ayant causé la mort de 100 personnes !


    Tout le monde dans le café retient son souffle.
    Le patron, abasourdi, déclare :
    - Hallucinant ! Un Espagnol gagne 10 euros et on annonce 10 morts en Espagne !
    Un Italien gagne 100 euros et on annonce 100 morts en Italie. Si ça continue
    ainsi, où va-t-on ???


    C'est alors qu'un maghrébin  pénètre dans le bar.
    Il achète lui aussi un ticket.
    Au moment où il s'apprête à le gratter, tout le monde dans le bar se met à
    scander :
    ** "Le Million, le Million !!!"*

     

    (j'ai honte ! j'ai honte !)

     

     

     

     

    C'est pour vivre un peu

    Qu'ils se  mettent en soucis 

    Qu'ils se mettent en route,

    Entre regret et désespoir

     

    Quand ils sont de l'autre côté de la mer

    Ils ont le coeur prisonnier

    Mais toi , tu sais les faire revenir

    Tellement ils sont fiers de t'appartenir.

     

    Corsica, Corsica, gloire à toi

     

    C'est pour un peu d'espérance

    Qu'ils descendent  envahir la rue

    Ils te parlent de liberté

    Ils sont muets  sur leurs victoires

     

    Mais quand ils se mettent à  dire

    ensemble  , le même courage

    Pour tout  ce qu'il reste à contruire

    Tu fais avec eux le voyage.


    Corsica, Corsica   , gloire à toi ...


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    je ne suis pas madame Irma; donc je ne vais pas vous tirer les cartes!

     

     

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    Aujourd'hui, je vais mettre cartes sur table , bien que ce soit dangereux , d'après ce que je vois :

    Chacun veut sa part du gâteau, pardon du magot  !!

     

    Alors, je change d'avis, je reprends mes cartes, et je  vais m'aérer  sur les routes de Corse.

    Le problème, c'est que je n'ai aucun sens de l'orientation ;allez donc savoir où je vais me retrouver ?


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    Si je me perds dans le sud, j'irai admirer les falaises  de Bonifacio; et manger des biscuits secs , comme ceux qui sont sur cette carte  postale.

     

     

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    J'ai une petite faim   tout d'un coup, je vais mettre la main à la carte, la pâte

     

     

    Sherry

    , nous demande de parler de cartes pour le" casse-tête de la semaine"


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  • Je suis une inconditionnelle de Victor Hugo ; aussi, pour le thème "NEIGE" , des croqueurs de mots j'ai choisi ce poème  que j'ai appris à l'école et que je pourrais réciter presque en entier ..sans tricher!

     

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    Il neigeait. On était vaincu par sa conquête.
    Pour la première fois l'aigle baissait la tête.
    Sombres jours ! l'empereur revenait lentement,
    Laissant derrière lui brûler Moscou fumant.
    Il neigeait. L'âpre hiver fondait en avalanche.
    Après la plaine blanche une autre plaine blanche.
    On ne connaissait plus les chefs ni le drapeau.
    Hier la grande armée, et maintenant troupeau.
    On ne distinguait plus les ailes ni le centre :
    Il neigeait. Les blessés s'abritaient dans le ventre
    Des chevaux morts ; au seuil des bivouacs désolés
    On voyait des clairons à leur poste gelés
    Restés debout, en selle et muets, blancs de givre,
    Collant leur bouche en pierre aux trompettes de cuivre.
    Boulets, mitraille, obus, mêlés aux flocons blancs,
    Pleuvaient ; les grenadiers, surpris d'être tremblants,
    Marchaient pensifs, la glace à leur moustache grise.
    Il neigeait, il neigeait toujours ! la froide bise
    Sifflait ; sur le verglas, dans des lieux inconnus,
    On n'avait pas de pain et l'on allait pieds nus.
    Ce n'étaient plus des cœurs vivants, des gens de guerre ;
    C'était un rêve errant dans la brume, un mystère,
    Une procession d'ombres sous le ciel noir.
    La solitude vaste, épouvantable à voir,
    Partout apparaissait, muette vengeresse.
    Le ciel faisait sans bruit avec la neige épaisse
    Pour cette immense armée un immense linceul.
    Et, chacun se sentant mourir, on était seul.
    - Sortira-t-on jamais de ce funeste empire ?
    Deux ennemis ! Le Czar, le Nord. Le Nord est pire.

     

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    Voici le défi que je vous propose :

    Vous écrivez une lettre d'amour délirante ou romantique  ,ou les deux à la fois, à votre boucher(e), votre boulanger(e), à votre curé (sans "e"), à votre facteur (trice) ,votre crémier(e) , et que sais-je encore ....à qui vous voulez ...

     

    Dans cette lettre (pas trop longue ), vous introduisez 14 mots (dans l'ordre, de préférence ) d'une chanson que vous connaissez tous  :

    " Ne me quitte pas " ; voici les mots : 

     Oublier- s'enfuit- malentendus- coeur - couvrir- domaine -amour - mort - feu- blé- rouge -ombre- chien- quitte .

     

    fro.gif

     

    Mon crémier adoré

    Je prends la liberté de vous envoyer cette lettre  car je l’avoue , je vous aime : depuis que je vous ai vu dans vos fromages, je ne peux oublier vox yeux bleu roquefort, vos cheveux, couleur gruyère mûr .


    Le temps qui s’enfuit , me presse de vous déclarer ma flamme , avant que vous ressembliez à un camenbert coulant . Mais qu’il n’y ait aucun malentendu entre nous : je ne  vous dis pas tout cela pour avoir des fromages à prix réduit !
    Votre cœur de lion, me fait fondre comme une savoyarde !
    Je suis comme un fromage corse qui fermente (sauf l’odeur) : inutile de me couvrir les yeux : je vous aime !


    Les fromages, ce n’est pas mon domaine, mais je suis prête à faire l’amour avec vous parmi le parmesan et le boursault .
    Je souffre mille morts , loin de vous . Vous êtes la crème des hommes et je promets de vous mettre le feu au .. cœur .


    Je nous vois déjà , le dimanche ,  nous  roulant dans les blés mûrs , pique-niquant  sur une nappe rouge,  entre la poire et le fromage, avec un soleil qui rit, comme une vache , sous l’ombre complice d’un grand chêne .


    Non, ce n’est pas un caprice  de ma part, ni des dieux : je vous aime !
    Masi j’arrête là, ma déclaration ; mon chien sait qu’il est l’heure de venir vous voir ; il s’agite , veut sortir. Je vous quitte  pour mieux vous retrouver dans votre crèmerie .  non, je ne vous quitte pas :à tout de suite mon amour .


    Signé : Bruschetta

     

    PS: A la demande de Marie de Cabardouche, je précise que ce n'est pas un petit suisse à qui j'ai conté fleurette !

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  • neige

     

    Un vieux barbon marié à une jeune femme va voir une voyante. Elle regarde dans la boule de cristal et lui dit:
    -Je vois que vous êtes du Capricorne.
    - Oui, c'est exact! Mais la voyante lui précise: Attendez! A propos de Capricorne, Capri c'est fini; mais pour les cornes, ça ne va pas tarder !
    Lu dans le dépliant d'un congrès médical sur l'alcoolisme :

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    9h15. . . L'alcool et le sang
    10h15. . . . L'alcool et le foie
    11h15 . . . . L'alcool et le pancréas
    11h45 . . . L'alcool et le coeur
    12h15 . . . . L'alcoolisme
    12h45 . . . Ouverture du bar

     

     

    Frida Boccara:"les moulins de mon coeur"

     


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