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Ma mère me disait , qu'il ne faut pas travailler le dimanche! J'aurais dû écouter ma mère!
Hier, je suis allée arroser mon jardin, car je n'avais pas eu le temps d'y aller la veille .
Nous avons chacun, 3 jours dans la semaine pour arroser à tour de rôle .
Ainsi, il n'y a pas de crêpage de chignon, ni de coup de poing entre les jardiniers occasionnels.
J'ai donc arrosé mon jardin .Tout à coup, j'ai pensé à mon gâteau que j'avais laissé dans le four en partant.
J'ai voulu me dépêcher : j'imaginais déjà la maison en feu ,les pompiers ...
Et j'ai posé mon téléphone portable sur le bord du bassin d'arrosage ..
OUI, c'est exactement ce qui s'est passé !
Le téléphone a glissé et plouf, dans l'eau !
Je ne me suis pas affolée:
J'ai réfléchi:
- Je plonge tout habillée dans le bassin ?
-Je vais chercher un outil pour le sortir de là ?
Après avoir mesuré la hauteur de l'eau, j'ai décidé de chercher un outil.
J'ai pris d'abord la pioche ;après trois essais et une nuage de vase, j'ai cherché autre chose.
Je suis rentrée dans le bassin:au moment de plonger la tête sous l'eau, je me suis dégonflée et j'ai renoncé à faire le tétard .
J'ai pris une bêche ; après 3 essais et une tornade de vase, j'ai cherché autre chose.
J'ai pris un râteau: pourquoi n'y ai-je pas pensé plus tôt ?
Je ne l'avais pas vu, tiens!
J'ai donc essayé avec celui-ci et j'ai réussi à le remonter en piteux état .
Il glougloutait lamentablement.
Je l'ai fait sécher au soleil ,mais rien à faire ; il glougloute toujours!
Ce matin, je suis allée en acheter un autre !
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- Dans cette prison, dit le directeur à un nouveau prisonnier, nous essayons de faire travailler le détenu dans la profession qu'il a pratiquée.
- C'est une bonne nouvelle ! dit le prisonnier.
- Et que faisiez-vous avant ? lui demande le directeur.
- J'étais portier !A la réserve animale de Thoiry, malgré les interdictions des gardiens et les observations de la maman, ce papa a ouvert la vitre de la voiture pour photographier les lions qui sont tout près. Beaucoup trop près au goût de la maman qui a très peur.
- Ne t'en fais pas, dit Dominique (6 ans), pendant que le lion mangera papa, tu auras le temps de fermer la vitre.Paghjella di 'limpicati paghjella des pendus ) par" 'a filetta"
Sè vo ghjunghjite in Niolu Si vous arrivez au Niolo
ci viderete un cunventu, Vous verrez un couvent
di u tempu u tagliolu Depuis ce temps les taillis
ùn ci n'hà sguassatu pientu. N'ont pas effacé les pleurs
Eranu una sessantina Ils étaient une soixantaine
chjosi in pettu à lu spaventu. Enfermés , l'épouvante au coeur.
Dopu stati straziati Après avoir été tourmentés
da i boia, o chì macellu! Par le bourreau , oh, quelle boucherie!
Parechji funu impiccati, Plusieurs furent pendus
ci n'era unu zitellu Parmi eux , un enfant
l'anu tuttu sfragellatu Ils l'ont démantibulé
è di rota è di u cultellu. Avec la riue et le couteau.
Oghje chì ghjè oghje in Corscia Aujourd'hui, de nos jours en Corse
fateci casu una cria Pensez-y un peu
si pate sempre d'angoscia On perçoit encore l'angoisse
intesu di Marcu Maria. Ressentie par Charles-Marie
Era quessu u su nome, C'était cela son nom
mancu quindeci anni avia. Il n'avait pas quinze ans.
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