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Bonne semaine à toutes et tous . Le soleil brille,il croit que l'été est arrivé :alors il ne se tient plus.Les températures grimpent comme les prix ,c'est peu dire!
Nous avons donc stoïquement dansé sous 30 degrés en plein soleil : c'est dur la vie d'artiste !Les spectateurs aussi ont eu chaud.
Un moment de répit à l'ombre
Et sous cette tenue (pour une danse particulière), nous en avons une autre qui sert pour les autres danses .
Vous voyez le soleil de plomb là-bas qui nous attend ?
Et eux les pauvres ?
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DimDamDom me laisse la barre de la coquille de noix des "croqueurs de mots" pour cette quinzaine. du défi N°145. Elle ne sait pas qu'elle prend des risques . Donc , voici ce que je vous propose ,après avoir lu cela chez Josette .A faire paraître le 18 mai (un mois avant l'appel du 18 juin )
Pour faire un poème dadaïste :
-Prenez un journal.(Pas votre journal intime , mais bon , si vous y tenez pourquoi pas ?
-Prenez des ciseaux.(Le choix des ciseaux est très important :il ne s'agit pas de s'énerver et de déchiqueter le journal)
-Choisissez dans ce journal un article ayant la longueur que vous comptez donner à votre poème.
-Découpez l’article.
-Découpez ensuite avec soin chacun des mots qui forment cet article et mettez-les dans un sac.
-Agitez doucement.
-Sortez ensuite chaque coupure l’une après l’autre.
-Copiez-les consciencieusement dans l’ordre où elles ont quitté le sac. (Je saurai si vous trichez = un gage )
Le poème vous ressemblera.
Et vous voilà un écrivain infiniment original et d’une sensibilité charmante, encore qu’incomprise du vulgaire.(Nous sommes tous des incompris)
Tristan Tzara
Pour les jeudis en poésie du 14 et du 21 mai ,je vous propose de choisir une"tirade" tirée des auteurs classiques :Molière, Racine, Corneille pourquoi pas arrangée à votre sauce ?
Allez au boulot, bande de matelots d'eau douce !En gros pour ceux qui n'ont pas envie de tout lire:
Vous prenez un bout d'article dans un journal ou magazine:vous le découpez en mots, vous mélangez et vous copiez au fur et à mesure que vous tirez les mots : vous aurez un texte bizarre mais c'est le but!
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Aujourd'hui, j'ai mis mon téléphone dans la poubelle.Heureusement que je l'ai fait sonner avant de jeter celle-ci, sinon les éboueurs auraient fait une drôle de tête , s'ils l'avaient entendu sonner.
Tout à l'heure départ pour la plaine:je vais danser avec mon groupe de danses traditionnelles.J'ai comme l' l'impression que nous allons transpirer !
Ici, :avec l'orchestre symphonique de Prague . Nous portons des tenues traditionnelles de quelques micro-régions de Corse des 18ème et 19 ème siècles .
Bon dimanche
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Le maquis est en fleurs; nous un peu moins.Malgré tout nous avons décidé de faire une marche en montagne tout là-haut ,jusqu'à la chapelle de St Ange d'Omessa (petit village pas très loin du mien):
Nous allons là ! Mais quelle idée de construire une chapelle en plein maquis ,au somment d'une montagne!
Nous grimpons sous un soleil de plomb (27 degrés) en plein midi: nous ne savions pas qu'il allait faire si chaud. La doyenne du groupe, 85 ans , en tête tout le long du chemin ; Ce n'est qu'une fois arrivée là haut qu'elle s'est écriée:
-"ça grimpe tout de même! "
"A benedica" (Qu'IL la bénisse ",disent nos anciens , pour éviter d'envoyer le "mauvais oeil" à la personne dont ils parlent en bien .
Il y a eu des abandons en cours de route ,pour cause de chaleur, de fatigue, d'ampoules ...
-"Alors ? Vous arrivez ,oui ? "dit la doyenne Lina , aux feignantes qui traînent sur la pente ,et elle est rude cette pente, je vous assure.
Mais la vue panoramique nous récompense de nos efforts.Après un pique-nique conséquent , nous prenons la descente vers les personnes que nous avions semées sur le sentier .
Ouf,un peu d'ombre près du ruisseau.
Et après le retour aux voitures, un petit café avec des petits gâteaux : normal , non ? Après, l'effort, le réconfort .
Je vous souhaite une bon week end.
Je vais au St Ange de notre village :le 8 mai c'est la tradition
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Pavel ne me laisse pas dormir.
Il vient hanter ma nuit.
Il se prend pour un vizir ,
Il croit m'avoir éblouie.
Mais je connais bien son manège :
Ce n'est qu'un sous-produit !
J'ai déjoué son piège,
Pavel, n'est qu'un inuit .
Hélas, pas de mille et une nuits,
Avec Pavel l'inuit.
Il est déjà minuit.
Je reste dans mon lit.C'est le nouveau venu dans "la cour de récré" de Jill Bill
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