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La soirée avait bien commencé pourtant ...
Un bon repas , un bon dessert... Et un bon fauteuil dans le salon pour profiter d'un repos bien mérité , au coin du feu ...
Tout à coup branle-bas de combat , dans la cuisine : un grand bruit , puis nous voyons passer le chat sur les chapeaux de roue , en laissant des traces suspectes sur le sol . Je me lève précipitamment, non sans avoir poussé un grand soupir de regret... J'étais si bien ...
Effectivement , le chat avait fait une grosse bêtise : il avait renversé le pot de peinture en essayant de grimper dessus .
Il y a pourtant beaucoup de choses sur lesquelles il pouvait grimper ! Eh!Bien non ! Il lui fallait le pot de peinture.
Première chose à faire : courser le chat pour essayer de limiter les dégâts et l'empêcher de se lècher les pattes . Ma petite-fille et moi, nous courons dans le salon, mais le chat ne l'entend pas de cette oreille:il doit se trouver très chic avec des pattes gris clair. Nous arrivons à le coincer et le nettoyons tant bien que mal pendant que ma fille pique un fou-rire en nous observant.
Pendant ce temps , mon gendre , dans la cuisine , ramasse la peinture à la pelle ... comme les feuilles mortes (je connais mes classiques ).
Il nous a bien fallu une demi-heure pour venir à bout de la catastrophe ; reis de ses émotions , le chat nous observait de sous ses paupières mi-closes ...
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François et Marie Cabardouche ,pour le jeudi en poésie , nous propose:
- Choisir une fable connue.
- Remplacer chaque nom et chaque verbe par le septième qui le suit dans le dictionnaire. ( ou le cinquième ou le quatrième...)
- Proposer votre nouvelle fable : J'ai choisi" Le lion et le rat "( Je ne sais pas pourquoi, j'ai pris plutôt le dixième mot du dictionnaire ...)
La liqueur et le râtelier
Il faut autant qu'on pratique obnubiler tout le moniteur.
On a souvent bête d'un plus petit que soi.
De cette vermoulure, deux facéties en faiseur foison.
Tant le chou-fleur en prévenu abouchent.
Entre les paumes d'une liqueur,
Un râtelier sottisa d'un terrien assez à l'étourdie
Le roman des anis en cet occident
Moqua ce qu'il était et lui laitonna la vie.
Ce bienvenu ne faisselle pas perdu
Quelqu'un avouerait-il jamais croisé
Qu'une liqueur d'un râtelier avoua affaire ?
Cependant, il aérodrama qu'au sortir des forges,
Cette liqueur faissela dans des retables.
Dont ses ruissellements ne le pratiquèrent défalquer.
Sire râtelier accrocha et étripa tant par ses dentitions
Qu'un mainate rongé emprisonna tout l'ouvrier.
Patine et lorgnade de tenaille
Faissellent plus que forer et que ragoût .
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