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Boule ou boules !
Article programmé
Je vous souhaite de passer de bonnes fêtes de Noël et de fin d’année.
Je fais un petit breack
Mais avant je ramasse mes billes : je préfère jouer aux boules , qu’elles soient de pétanque ou de Noël .
Pour la pétanque, je ne joue pas très souvent, un peu l’été.
C’est trop fatigant de se baisser sans arrêt pour ramasser les boules .
Je vous ai parlé de notre ancien curé,il y a quelques jours : un Don Camillo : toujours en soutane et prompt à faire le coup de poing.
On dit qu’il a un pistolet sous sa soutane :je ne suis pas allée vérifier, mais cela ne m’étonnerait pas !
Il s’est bagarré dans une église, avec le président des anciens combattants lors d’un enterrement d’un ancien aussi.
L’ancien combattant est resté au tapis :il faut dire que le curé est un ancien militaire !
C’ est bien connu : l'armée mène à tout !
Au tribunal,il a déclaré au juge abasourdi :
-« « -Je lui ai donné un coup de boule,parce que j’ai vu rouge ; c’est Satan qui a armé mon bras ! »
Le juge n’a pas été convaincu et l’a condamné à payer des dommages , après lui avoir fait la morale.
Je préfère les boules de Noël :elles sont moins percutantes et elles brillent de mille feux !
De quoi perdre la boule et se retrouver en enfance !!
Bon, avant de perdre la mienne, je vous souhaite un joyeux Noël !!
C’est Sherry qui veut nous faire perdre la boule avec son "casse- tête de la semaine" : billes et boules
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Commentaires
Noël : je perds la boule et j'ai les boules.
Ça te va ? Allez : on y survivra.
Bisous et à très vite.Ca c'est un super prêtre ! Ca donnerait presque envie de retourner à l'église. Tu sais que ça existe des pinces spéciales pour ramasser les boules sans se baisser !
Je préfère aussi les boules de Noël....
Mais j'ai bien ri en pensant à ton curé...Merci !
Bisous et belle journée, Fanfan, où que tu sois aujourd'hui.
Lol fanfan espérons que satan n'armera pas son bras le jour de Noël
je te souhaite un joyeux Noël
bisous
Bonsoir Fanfan .
J'espère que tout le monde est bien arrivé .
Je te fais de gros bisous et te souhaite de bonnes fêtes .
Sacré curé ma Fanfan. Joyeux Noël et comme le disent les bretons, Nedeleg Laouen. Bises et bonne soirée
Ton histoire de curé me rappelle celle du Père Noël du marché de Noël à Bordeaux, arrêté par la police parceau'il menaçait un exposant avec une carabine... Bisous
merci pour cette biographie très complète , il est vari qu'il semble s'être un peu assagi quoique ... , chez nous plusieurs paroissiens le boycottaient .
Maintenant il ne vient plus chez nous, il a la maladie de Parkinson .
Bisous
il est bizarre mais il fait de belles messes très vivantes;oui, je connais l'aimant pour ramasser les boules !
oui, je connais; je ne joue pas assez souvent pour en acheter un mais il n'est pas dit que je ne le ferai pas ! Bisous Merci!
41JosetteDimanche 27 Janvier 2013 à 14:49ne perd pas la boule je t'attends pour rigoler encore avec toi en 2012 !
joyeux noêl pour toi et tous ceux que tu aimes
bizzzz d'une ex bretonne de Paris exilée dans le 78 !
42VividecateriDimanche 27 Janvier 2013 à 14:49...Un ancien combattant voulait déployer un drapeau français lors des obsèques d'un gendarme. L'abbé en soutane a refusé. Le gendarme inhumé, l'ancien combattant avait demandé des explications. L'abbé lui aurait alors donné un coup de tête dans le ventre. L'abbé Mondoloni, figure nationaliste corse, a été condamné, par le tribunal de Bastia, à 850 euros d'amende.
Comme tout le monde le connaît, voici une petite biographie...tu laisses ou tu enlèves cet article c'est comme tu le désires... Bisous et carpe diem Vivi
26 septembre 1939, naissance à Beyrouth
1958-1959, membre de l’O.A.S.
6 janvier 1981, ordonné prêtre
Sous la soutane, un ancien de l’O.A.S. L’organisation armée secrète qui a sévi pendant la guerre d’Algérie pour qu’elle reste française. Alors, dans son parapluie anglais avec lequel il arpente les rues de Ponte-Leccia, tout le monde s’attend à ce que « Don Camillo », comme l’appellent ses paroissiens, cache un fusil. Pourtant, il « n’en a plus depuis longtemps ». Quant à son 38-spécial, un calibre .9 millimètres, il l’a « rendu à son frère » voilà quelques années. « Un prêtre avec un pistolet, ça peut faire bizarre », reconnaît-il sous une tapisserie représentant la Christ. De toute façon, il n’en a plus besoin pour dégainer. Jean-Claude Mondoloni tire dès le premier coup de fil : « Quelles sont vos questions ? Et faites attention à ce que vous allez écrire, parce que vous savez que je peux devenir violent ! »
Le directeur de la police à Ajaccio en a fait les frais en 1987. Après une manifestation anti-Pasqua, le jeune curé est emmené au poste tenu en croix – un signe ? – par deux C.R.S. Lorsqu’ils le présentent à leur supérieur, le pied de l’abbé a « remonté l’allée défendue », comme il dit. « Et s’il a osé se plaindre, et bien il ment parce qu’il n’en a pas ! » Cassius Clay s’est réveillé. C’est comme cela qu’il était surnommé pendant sa formation de prêtre à l’école Stanislas à Nice. Il voulait être prof de sport, lui, le coureur de demi-fond. Le pedigree sera tout autre. Son histoire, il la raconte debout. Droit comme un bâton de pèlerin. Par fierté, mais surtout parce qu’une opération de la colonne vertébrale lui interdit de rester assis trop longtemps.
Jean-Claude Mondoloni est né au Liban en septembre 1939, « le mois de la déclaration de guerre », dit-il le sourcil menaçant. C’est son père, militaire, qui le pousse à préparer Saint-Cyr, l’école des officiers de l’armée. « J’ai déserté pour entrer dans l’O.A.S. ! Rien ne m’a séduit, c’est la trahison du Général de Gaulle qui m’a poussé dans cette voie » pourtant impénétrable. Celle du commando de Bastien-Thiry, futur organisateur de l’attentat du Petit-Clamart. Mondoloni n’est pas encore abbé, il participe à un réseau de trafic d’armes depuis la Belgique : mitraillettes, bazookas… « On trouvait de tout ». Lui aussi se fait trouver. 4 mois de prison. « Là, on retrouve la foi. On est travaillé par la grâce, précise-t-il. Quand je voyais le curé s’agenouiller devant le tabernacle, je me disait qu’il avait rendez-vous avec Quelqu’un ».
Son chemin de croix durera 15 ans. De stages en universités catholiques. Jusqu’à Fribourg en Suisse avant de rentrer en Corse en 1981 sous l’aile de Monseigneur Thomas, évêque de l’île. Mais « le 19 mai 1984, mon supérieur a eu une parole malheureuse à mon encontre. Il m’a dit : « tu seras mon kamikaze dans le monde nationaliste ! » Alors il s’exécute. Son rôle : prendre contact avec les clandestins et proposer la doctrine de l’Eglise. Puis « répondre à certains appels », comme celui de Jean-Baptiste Acquaviva. Le clandestin voulait se marier mais ne pouvait évidemment pas se rendre en mairie. La cérémonie religieuse devenait impossible, pourtant Monseigneur Casanova lui a « accordé l’immense honneur » d’unir le militant à sa compagne. « Puis il y a eu ce drame », dit-il. L’abbé Mondoloni participe alors aux foires et aux meetings en intégrant l’A.N.C. « On me demandait des messes, mais mon rôle de prêtre au sein de la mouvance était réduit à zéro. J’étais très peu écouté. Je n’ai jamais revendiqué un poste. Je ne suis pas nationaliste, je suis pour la terre de mes ancêtres ». Puis les dysfonctionnements s’accumulent au sein du mouvement avec ses dérives. L’abbé s’écarte jusqu’au pacte de Migliacciaru en juillet 1999. « Il fallait arrêter la folie des assassinats. La position de François Sargentini après la mort de son frère est un miracle ! Alors nous avons tous signé devant les caméras », se souvient-il. La folie a repris. Et depuis, il porte un regard critique, tout en gardant ses convictions : « La lutte des classes que voulaient certains n’étaient pas compatible avec une idéologie de droite. C’est une aberration intellectuelle. Quant à l’idée de Nation corse, je préfère parler de Terra Nostra », explique l’abbé Mondoloni. Peut-être s’est-il assagi. Mais à ceux qui disent qu’il a perdu le Nord, il montre la petite boussole intégrée à son bâton de pèlerin.
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Pour la pétanque fanfan, il exite des aimants au bout d'un fil, on ne se baisse plus !!!!! Joyeux Noël la Corse ! Bisous