Extraits de lettres reçues à la Sécu. (Sans correction)
1. J'accuse réception de ne pas avoir reçu mon chèque.
2. En réponse à votre enquête dentère consernant mon appareil, les dents de mon devant vont très bien mais celles de mon derrière me font mal.
3. Mon mari est pour le moment décédé.
4. Pouvez-vous faire quelque chose pour ma fille? Elle est fille-mère et nourrit son enfant au sein sans pouvoir joindre les deux bouts.
5. Si vous n'augmentez pas mon allocation, je vais être obligé de
recommencer à travailler.
6. Je n'ai pas eu d'enfant avec mon mari jusqu'ici. Maintenant
qu'il est décédé, dites-moi comment
faire.
7. Étant chômeur sans secours, je me suis mis à ramasser un peu de tôle dans la cour à ferraille pour faire manger les enfants.
8. Dite-moi à quelle âge les enfants changes de prix?
9. Nous avons eu un décès qui recevait le chèque d'allocation.
10. Vous avez coupé ma petite Thérèse en mai. Tâché de lui arrangé ca
pour l'autre mois.
11. Si vous plait débarqué ma Pouline dessus l'allocation pour qua travaille
12. J'espère cher, monsieur que vous allé réparé votre trompe.
13. Mon mari est mort le 7 mai et entéré le 10 par accident.
14. Pouvez-vous me dire si une femme qui a eu 15 enfants et qui a laissé son mari pour s'accoter à un vieux garçon, qu'elle a eu un enfant avec lui a-t-elle le droit aux
allocations?
.15- Ma voisine est morte pendant qu'on était monté sus le curé.
sympa pour aller se balader!
Dans les temps anciens, pour s'assurer que quelqu'un était bien décédé, l'usage voulait qu'une personne en charge de cette vérification morde violemment un des doigts de pied de la
victime (généralement le gros orteil).
Si rien ne se passait, la personne était déclarée morte.
C'est donc de là que vient
l'appellation de croque-mort
.
Cette fonction de croque-mort, qui était en fait comme une vraie charge (comme les bourreaux), se transmettait de père en fils depuis la nuit des temps.
Or, un jour, il arriva une catastrophe : le dernier croque-mort, bien qu'ayant eu de nombreux enfants, n'avait aucun garçon.
Sa fille aînée reprit donc sa charge. Mais voilà que la première victime qu'elle eut à traiter était un homme qui avait eu une grave maladie. La gangrène l'avait en partie gagné et on
lui avait coupé les deux jambes jusqu'à la hauteur des cuisses.
La jeune fille examina la situation et mordit donc, avec tendresse et précaution, le premier membre inférieur qu'elle put trouver.
Ce fut à cette époque, et très précisément dans ces circonstances, que l'on passa de l'expression de croque-mort à celle de pompe funèbre.
Quels machos!!
Je suis morte de rire... Je ne connaissais pas la dernière !
...
Merci pour ce rire du soir. Bisous.