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(Il en manque quelques-uns )
Retour au bercail après 15 jours de vadrouille sur le continent .La fin du voyage a été rude pour quelques choristes qui ont eu une intoxication alimentaire .Ils ont mangé des fruits de mer , sans doute avariés.
Moi, je n'en ai pas mangé car je n'aime pas cela.
Même le chauffeur de notre car a eu du mal a finir le voyage jusqu'à Ile Rousse .
Malgré tout notre séjour a été très agréable mais épuisant: couchés tous les soirs à une heure du matin au plus tôt, visite de la ville, shopping , etc...
Et lorsqu'il y a des fantômes dans les couloirs de l'hôtel , qui vont réveiller tous les choristes ... les lendemains sont difficiles .
Quoi ? Vous m'avez reconnue ? Ce n'est pas possible !
Il nous arrivé d'embarquer sans le vouloir des personnes qui ont pris notre car, pour un bus de la ville ;ils ont été obligés d'aller jusqu'à notre hôtel .. Une copine est venue au fond du car ( c'est comme à l'école, les les dissipés sont au fond ) , et nous a dit:
- "Il y a des gens assis à la place et je ne les connais pas ... J'avertis le chauffeur ? "
Et c'est ainsi que nous nous sommes aperçus que nous avions des passagers clandestins .
Au retour, nous avons visité Aigues-Mortes avant d'embarquer à Marseille .
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Lancelot est pêcheur,
Sur l’étang de Thau.
Tous les jours sur sa barque
Les gens le remarquent:
--"c’est lui ,du tac au tac
Qui a mis le feu au lac.
D’Annecy.Puis il est parti
Se cacher en Occitanie !"
Depuis sur l’étang de Thau,
On se méfie de Lancelot.
C’est le nouvel élève qui arrive en barque dans la cour de récré de Jill Bill
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Je file sur Séte ce matin tôt avec ma chorale, jusqu’à jeudi. Nous allons chanter à Jigean le 6 et à Sète le 7 ( normal) . Donc,je n’aurai pas beaucoup de temps libre .Si nous ramassons des tomates,je partagerai avec vous,promis.
Domi (Dimdamdom) à la barre des "croqueurs de mots" pour la quinzaine, nous demande de broder sur le thème: "quand Paris s’enrhume, c’est toute l’Europe qui a froid"
Les parisiens ayant chanté tout l’été
Se trouvèrent fort dépourvus
Quand la neige fut venue.
Pas un seul pneu clouté,
Chasse-neige ou véhicule équipé.
Ils allèrent crier à l’aide
Chez leurs cousins canadiens
Leur priant de leur prêter
L’expérience qui leur manquait.
Ceux- ci ,se gaussant de Paris
Le raillèrent à l’infini.
Ses voisins européens
N’y comprenaient plus rien :
Paris coulait, éternuait
Et c’était eux qui frissonnaient .
Réunis ,a l’unisson,
Ils décidèrent sans façon
Que Paris , cette orgueilleuse blonde
Ne serait plus le centre du monde.
Plus de mouchoirs à lui prêter,
De Paris, l’Europe s’en ficherait
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Lorsqu’il fait un temps de chien,il vaut mieux avoir une vie de
Je ne le monterai ni ne le descendrai tant qu’il y a de la neige, sauf en luge peut-être...
Vive la neige
Seul, abandonné dans la cour , voilà qu’il neige à nouveau..
J’espère pouvoir aller chanter à Sète la semaine prochaine ....Je vous souhaite un bon week end
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Il fait -3 ce matin , près de Manosque. Alors...
Richelaine a mis sa petite laine,
Son bonnet et ses mitaines,
Sa doudoune et ses bas de laine.
Elle est prête pour aĺler au marché.
En chemin,elle a rencontré
Son copain, le gros René.
Ils ont voulu s’embrasser.
C’est là que le drame s’est joué:
Le choc des doudounes a déclenché
Une avalanche de corps enlacés.
Ils ont roulé jusqu’au bas de la place.
Tout étourdis,ils sont restés sur place.
Richelaine a dit: "- il faut que je me le fasse !"
La suite de l’histoire se passera dans la "cour de récré" de Jill Bill
J’écris avec une tablette.JE n’arrive pas à mettre une image ni un lien.
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