•  

    C’est un p’tit gars, ni démon ni ange

    Il travaille dans la boulange

    Levé dès l’aube,il pétrit, il pétrit

    Des pains ,  qu’il met dans le fournil.

    Il chante à tue-tête du matin au soir

    Faisant se pâmer les clientes au comptoir.

    Son pain  fait parfois se coincer un dentier

    Mais on lui pardonne,il est si primesautier

    Qu’avec lui , la vie est plus colorée

    Vous avez reconnu le bel Agathange

    C’est le p’tit gars, ni démon ,ni ange

    Agathange va apporter des brioches aux élèves de la cour de récré de Jill Bill

     


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  •  J'avais programmé la parution mais apparemment il y a eu un souci.

    Nour est une chanteuse

    Nour est chanteuse de nuit

    Dans un cabaret de Paris

    Lorsqu’elle sort ses vocalises

    Les gens ont les poils qui s’électrisent.

    Il faut l’entendre massacrer le là

    Quand elle chante comme ça :

    Ha,ha, ha,ha,ha ,ha

    Ha,ha,ha,ha,ha,ha,ha .

    On l’appelle  «  la banana traviata. »

     Il faut vous dire sans tralala,

    Qu’elle est cousine avec Juanita .

    Ceci explique cela .

    Elles ont décidé de faire un duo

    Tous les soirs au Lido .

    Allez donc les écouter

    Tous vos soucis vous oublierez.

    Une élève qui va mette de la joie das la cour de récré de Jill Bill(en lui souhaitant un bon rétablissement)

     

     

     

     

     

     

     


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  • Vasco est le roi du pédalo

    Il aime aussi les auto

    Mais rien ne vaut un pédalo

    Pour glisser sur l'eau.

    Il pédale , pédale , pédale

     Au point d'user ses sandales.

    Quand les filles le voient passer

    Elles l'applaudissent sans tiquer ;

    Vasco alors se met à chanter

    Sans arrêter de pédaler .

    Vasco est le roi du pédalo !

     

    Vasco va promener les élèves de la cour de récré de Jill Bill


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  •  

    Camélia est une jolie fleur

    Une  fleur de province

    Tous les gars du village

    Pour ses beaux yeux , en pincent.

    Mais elle n’en veut aucun

    Elle attend le   charmant prince

    Qui l’emmènera en ville

    Elle guette le moment opportun.

    Camélia est un peu futile .

    Elle va brûler ses pétales

    Aux lumières de la ville.

    Peut-être même la capitale ?

    Camélia n’est pas très cérébrale….

    Une élève un peu légère qui arrive dans la cour de Jill Bill

     


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  •  

    J'ai connu  deux frères  : l'un s'appelait Rodolphe et l'autre Adolphe ... Leurs parents aimaient sans doute les rimes en "olphe"

     

    Rodolphe est un chasseur du dimanche

    C’est un petit cousin de Tartarin

     Heureusement,il tire comme un manche

    Faisant la joie des pigeons et des lapins.

     

    Il fait le fier en tenue camouflée

    Casquette verte et pataugas kaki

     Cartouchière  en bataille et fusil chargé

    Tous les dimanches il parcourt le maquis.

     

    Quand le gibier le voit arriver,

    Tout content, il gambade derrière lui

    Son chien se cache , pas  vraiment rassuré,

     Par ce chasseur bigleux et mal fini…

     

    C'est un  élève inoffensif qui arrive dans "la cour de récré" de Jill Bill (en lui souhaitant un prompt rétablissement )

    Et si vous avez le temps une petite chanson qui se moque des chasseurs avec la traduction.

    Ils étaient trois

    Aujourd’hui , de bonne heure à  la première heure

    Prêts à partir vers le grand maquis,

    Ensommeillés, hébétés,

     Ils sont contents les grands marcheurs !

    Ils partent, décidés, tous en bordée

    Vers le col de St Antoine

    Comme de vrais Tartatin   ,Tartatin de Tarascon

     Refrain

    Ils étaient trois

    Ils étaient trois qui allaient à la chasse

    Il y avait   Barbichette , Barbette et grande barbe

    Trois grands bavards, trois grands menteurs,

    Prêts à tuer  cent sangliers !

     

    Et quatre à quatre, les voici en place

    Les chiens prêts à débusquer

    Les cartouchières bien pleines

    Les jumelles comme les officiers

    On dirait une armée de soldats

    Avec leur casquette à l’américaine

    Si je ne me trompe pas, par Dieu saint,

    Ni poils, ni plumes n’en réchapperont !

     Refrain

    Tous encordés, ils se sont postés

    En cachette, ces chasseurs

    Haletants,comme des damnés

    A l’affût de tout ce qui ce qui se pointait

    Une battue démesurée.

    On se serait crus en guerre

    Dis-le moi franchement !

    Ils ont usé mille cartouches

    Sans  rien  tuer, même pas un sanglier!

     

    Ils étaient trois !Ils étaient trois

    (combien étaient-ils ?

    Trois, juste trois !

    Ils n’étaient que trois ?

    Oui, et combien voulais –tu qu’ils fussent !

    Un bataillon ?  espèce d’âne !

    Ils étaient trois … qui allaient à la chasse…

     


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