• Les journées passent  vite; la semaine est finie : nous avons des orages tous les après-midi .

    C'est la fête des mères .Alors bonne fête à toutes les mamans et à moi par la même occasion

    Que nous nous sentions seuls, tu es là  tu es là

    Qui nous berce et nous console , c’est toi  c’est toi

    Même toute la nuit, avec la voix sucrée

     et tes mains de fée tu es là  ô  maman

     

    Viennent le vent et la froidure tu es là ,tu es là

    Malheurs, angoisse ou peurs tu es là,  tu es là

       Toujours tremblant pour nous

    Tu laisses tout et tu nous secoures

    Pour faire disparaître chaque morsure tu es là ,ô maman

     

    Etoile nous n’en avons qu’une et c’est toi

     Elle n’a pas de prix cette fortune

    Et c’est toi et c’est toi

    Il y a  l’obscurité ou la clarté  

    Tu laisses tout pour nous aider

    Il n’y a pas la pareille et c’est toi ô maman

    Cette chanson que nous chantons elle est pour toi elle est pour toi

    L’affection   que nous avons , nous te la donnons ,c’est pour toi

    Et  nos plaisirs   éclatent  en bouquets de baisers

    Et en mille rayons de joie, c’est pour toi , c’est pour toi ô maman

     

    ...

     


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  • Une aire de battage du blé: les boeufs  traînaient une pierre ronde  en tournant   et ainsi la paille était séparée du blé. C'était la " tribbiera"

    Il y en a beaucoup autour du village, car autrefois , la majorité des champs étaient  cultivés avec du blé.

    Et cela se faisait en chantant

    Le chant est repris en rythme dans la seconde moitié de la vidéo

    Le maquis a pris la place  ..Mais il reste des traces

    Et comme disait l'autre  :(Mais c'est mal parti, vu l'orthographe... )

    tribbiera


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  • Au-dessus du village , pique-nique  pour notre fête de St Ange  ; en attendant le curé ...

     

     Dans les hauteurs

    Notre petite chapelle avec la croix fabriquée par un berger il y a plus de 80 ans

    Les plus courageux y montent à pieds; les chanceux  avec les moyens du bord

    Notre jeune curé , entouré des chanteurs ( la messe est chantée en corse)

    Bof  ! moi je médite loin des humains et de leurs simagrées !

     


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  •  

    La catastrophe de Furiani  ; l'effondrement d'une tribune du stade Armand-Cesari  qui s'est déroulée le 5 mai 1992 à Furiani lors de la demi-finale de la coupe de France de football 1991-1992 opposant le SC Bastia à l'Olympique de Marseille, causant la mort de 19 personnes  dont plusieurs journalistes sportifs et blessant 2 357 spectateurs.

    5 mai 1992. Le coup d'envoi du match est prévu à 20 h 30. Dès 19 h, plusieurs responsables de la sécurité sont inquiets du comportement de la tribune reposant sur des cales en bois et des parpaings non scellés et qui commence à bouger. Des employés  s'affairent à revisser les boulons et écrous, en vain

    Jean-Pierre Paoli, le speaker du stade, est sommé par des représentants de la sécurité de calmer les supporters au micro. À 20h15, il invite les supporters de la tribune nord à « ne pas taper des pieds surtout sur les parties métalliques » mais il n'est pas écouté.

    Mes  garçons et mon mari y étaient;l'un  de mes fils   a frôlé la mort de quelques secondes: il venait juste d'acheter un sandwich  à la vendeuse dont le stand se trouvait sous la tribune qui s'est effondrée quelques secondes après. La vendeuse a été écrasée.

     

     C'était le 5 mai, j'entends toujours les voix

    Le soleil se couchait ,la nuit tombait déjà

    C'était le 5 mai, dans notre vie

    Où sont allées, ces voix qui chantaient

    D'autres qui sont revenues, les ont entendu appeler

    Où seront allées, leurs écharpes qui volaient ?

    Dans les étoiles bleues,où bien qui peut le savoir?

    Les cloches latines, les ont vu passer

    Et tant d'autres matins, pleurent toujours  aujourd'hui.

    C'était un 5 mai,Qui ne veut pas se coucher

    C'était un 5 mai, pardonnez-nous ô mères  !

     

     


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  • Les cistes sont en fleurs

     

    Les copines, ont planché sur les oeufs ces jours-ci à la demande de Renée .

    Alors  j'ai pensé à l'éternelle question qui restera toujours sans réponse: Qui est  apparu en premier: l'oeuf ou la poule ?

    Dans ma région, qui s'appelle 'la ghjuvellina"  , (prononcer ;diouwellina ) on demande:

    "-Tu chi si di Ghjuvellina

    Dimmi s'ell 'hè natu prima l'ovu o à Ghjallina ?

    (Toi qui es de Ghjuvellina

    Dis-moi qui est né en premier de l'oeuf ou de la poule ?)

    Et nous on répond: -" Toi qui est de Morosaglia

    Dis-moi qui est  paru en premier; du marteau ou des tenailles ?

    -("tu chi si di Morosaglia

    Dimmi s'ell'hè natu prima u martellu o  à  tanaglia )

    Cette question est aussi compliquée que la première. Je n'ai pas la prétention d'y répondre  .

    Alors,je vous laisse cogiter...

    Ce soir j'ai un concert    pour l'association "des femmes solidaires "

     

     

     

     


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